Les ouvrages, contes, articles écrits par la famille s’inspirent pour la majorité d’entre eux de notre histoire, de notre quotien et de notre labeur à la Cour de Lestre.
Les références seront ajoutées au fur et à mesure. Certains articles seront publiés en partie ou en totalité dans le blog.
Ouvrages de Pierre Godefroy,
« Comme la feuille au vent, un normand au pays des tziganes », préface par Jérôme et Jean Tharaud, Edition J. Susse, Paris, 1948

« Notre-Dame de l’Etoile« , textes recueillis par Pierre Godefroy, Edition du 9e centenaire de l’abbaye de Montebourg, Editions Notre-Dame, Coutances, 142 pages, 1966 (?)
« Roi sur sa terre », Edition Heimdal, 1975
« Notre patrie Européenne », préface de Michel Debré, imprimerie Lerévérend, Valognes, 1977

« Les laudes à Saint-Michel du Péril », Edition Heimdal, 1981.
« Le bateau du père », 1989,
« Trois romans-poèmes, dans une langue riche de mots anciens qui ressurgissent, vivifiants, pour donner souffle à notre parler appauvri du quotidien. Des mots que l’on aimerait retenir pour leur musique, leur couleur, leur teinte presque exotique, tellement nous les avons oubliés. Pénétré d’Histoire, mais aussi de légendes de son pays, l’auteur restitue-là, en termes poétiques, des parcelles de notre imaginaire bas-normand, de sa province de paysans, enchâssée par la mer, toujours présente et redoutable ». in https://www.fnac.com/livre-numerique

« Comme la feuille au vent, un normand au pays des tziganes », réédition à l’occasion des 90e anniversaire de sa naissance et des 60 ans du débarquement , contient un choix de témoignages sur Pierre Godefroy, dont un texte de son frère Raymond. Marigny : Éd. Eurocibles, impr.Garlan, 2004.
« Ce livre, le premier de Pierre Godefroy, est à l’image de sa vie… un vrai roman. Publié une première fois en 1948, c’est tout à la fois le récit de sa démobilisation, en 1940, sa vie de prisonnier dans les camps, ses multiples évasions – la neuvième sera la bonne – et de ses aventures et rencontres qui annoncent, par avance, sa grande liberté d’esprit et de… parole ! « Comme la feuille au vent », en cette période de commémoration de la Libération, est aussi un hommage à ces milliers de prisonniers, qui devront attendre le printemps 45 pour retrouver leur famille. Ils n’auront pas tous la chance, ni les forces physiques et morales, de connaître le parcours de Pierre Godefroy, mais leurs regards étaient tout aussi tendus vers leurs fermes ou ateliers, vers leur patrie et vers la liberté ». in https://www.fnac.com/livre-numerique

Ouvrages de Raymond Godefroy,
Sites Internet sur Raymond Godefroy et la littérature :
http://www.etudes-francaises.net/entretiens/godefroy.htm
https://www.babelio.com/auteur/Raymond-Godefroy/529023
http://www.ecrivains-paysans.com/staff/raymond-godefroy/
Passionné de lecture depuis son enfance, lorsque sa lourde charge de travail lui permet, il parcourt les grands classiques de la littérature mais également la littérature scientifique agricole et en particulier celle qui étudie la vie des sols et les équilibres biologiques, la vie des plantes et des animaux. Dès les années 1970, il rédige des articles sur l’agrobiologie naissante publiés dans la revue « Agriculture et vie ». Entre 1988 et 2006, il publie plusieurs ouvrages : « Contes écologiques et fantastiques » en 1988 ; « Trois histoires étranges » en 1995, « Les extravagantes aventures du Graundaru » en 1997 ; « Fables pour les années 2000 » en 2001 ; « Diries » en 2006.
Il devient membre de l’Association des écrivains paysans et organise leur congrès annuel en 2014 à Valognes.







Diries, histoires fantastiques du Cotentin entre nature et imaginaire », Contient aussi : « Nouvelles » et « Contes des quatre saisons », Marigny, Ed. Eurocibles, Impr. Garlan, 2006
« Raymond Godefroy et l’écriture », un document réalisé par Dominique Segretain en 2012.
Ecrits d’Angéline Godefroy
Notre grand-mère écrivait des histoires en français. Elle inventait et rédigeait chaque année un nouveau conte à l’occasion de la fête des anciens de la commune de Lestre. Elle racontait également des histoires de son invention ou issue du répertoire traditionel. Ses contes se terminaient souvent par « Tuit, tuit, tuit, men petit counte est fini » (Notez que les oiseaux en Normandie comme en Angleterre disent « tuit tuit » (twit twit) tandis qu’en France ils disent « cui cui »).